Si je devais perdre espoir, il ne me reste rien, dit-elle
Lui - Quel est le problème avec rien ?
Elle - "Si je n'ai rien, je... je perds qui je suis. Rien que d'y penser, je me sens vide, abandonné."
Lui - "Laissez partir votre espoir. Que "rien" prenne la place. Que ressentez-vous ?"
Elle - Après quelques secondes, mal à l'aise, elle a protesté, "j'ai peur; anxieuse... Je suis très mal à l'aise. Je n'aime pas faire cela."
Lui - "Continuons, quelle émotion est la plus forte ?"
Elle - "La peur." Dit-elle tranquillement.
Lui - Doucement j'ai demandé: "Au lieu de se détourner de votre peur, regarder la, de plus près. Devenez une conscience aiguë de votre peur. Comme vous la regardez, elle va changer."
Lui - "Que se passe t'il à votre peur maintenant que vous êtes là, à la regarder ?"
Elle - "Au début, elle est devenu plus forte. Je voulais ouvrir mes yeux. Maintenant, elle est comme une ombre pâle. C'est comme si ma conscience est un soleil et que la peur se consume comme du brouillard ! "
Lui - "Continuez à observer votre peur."
Quelques instants plus tard, j'ai remarqué un changement dans sa respiration et demandé, "Que voyez-vous maintenant ?"
Elle - "Rien."
Lui - "Sentez-vous encore la peur ?"
Elle - "Non, je ne sens rien."
Lui - «Faites attention à ce "rien" comme vous l'avez fait pour la peur. Que ressentez-vous? "
"Je me sens en paix, complètement en paix." dit-elle avec une certaine surprise.